Alors que se passe-t-il ?
La logique ne guide pas nécessairement le comportement court terme des indices boursiers. L’émotivité dicte souvent le comportement court terme des investisseurs.
Voici quelques récents exemples
1. Facebook et Cambridge Analytica
Personne ne peut affirmer que cette utilisation, pour le moins douteuse, a pu avoir des répercussions sur le vote pour le Brexit en Angleterre ou l’élection de Trump aux États-Unis. Nous sommes encore dans le domaine de la haute spéculation. Pourtant, celle-ci a entrainé à la fois la chute de la valeur de l’action de Facebook et de l’indice Dow Jones. L’émotivité l’a emporté sur la logique.
2. Les 1001 Tweets de M. Trump qui jouent sur l’émotivité des gens.
• L’imposition de droits compensatoires sur l’aluminium canadien (qui n’aura pas lieu),
• Ceux sur la guerre commerciale avec la Chine,
• La guerre des nerfs avec la Corée du Nord,
• L’expulsion de diplomates russes,
• Les attaques sur Amazon et Intel,
• L’affaire Stormy Daniels.
À court terme, ces Tweets influencent négativement le comportement des investisseurs qui prennent peur et encaissent leurs gains.
Notre stratégie
Nous avons défini avec vous une stratégie unique, long terme, basée sur votre situation et sur vos besoins votre vie durant. Nous l’avons articulée autour d’indicateurs économiques fiables. Nous vous encourageons fortement, comme je le ferai moi-même, à maintenir le cap et à ne pas succomber à l’émotivité provoquée par les situations n’ayant aucun impact à long terme. Que ce soit Facebook ou les Trumpitudes.
Dernière heure: attaques contre la Syrie.
Mauro Di Cesare Pl. Fin.
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